Avec un quart de la consommation foncière annuelle nationale qui lui est dédiée ces dix dernières années, l’activité économique est sous le feu des projecteurs. Souhaitée plus sobre, plus mixte, moins « moche »… elle est l’objet d’injonctions nombreuses qui peinent à prendre en compte l’extrême diversité des entreprises et de leurs logiques. Comment appréhender la complexité des dynamiques économiques ? Et comment les intégrer aux logiques d’aménagement pour répondre aux enjeux contemporains des territoires ? Ce troisième cahier d’AVille s’attaque à la fonction rebelle de la planification et de la programmation pour décrypter ses enjeux et mieux l’intégrer aux projets urbains.